Dvar Thora shabbath PINH’AS par Mr Aimé Haviv Hazan

Il ya un verset dans la paracha qui interpelle chacun de nous ,c’est le verset 18 du chapitre 27 :

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Nos sages déclarent dans le traité de Talmud Nédarim (71, a ) : pourquoi n’est il pas courant que des Hakhamim ou des savants en génèral engendrent des savants ?

Rav Yossef dit :Pour qu’ils ne disent pas qu’ils reçoivent la Loi en héritage...

C’est ainsi que les fils de Moshé n’ont pas héritè de sa grandeur et n’ont pas étè désignè pour le remplacer,ni pour rempli rune autre charge. Et ici dans le verset 17 lorsqu’intervient la désignation de << l’homme qui sortira devant eux et qui entrera devant eux,qui les fera sortir et les fera rentrer>> leur nom (les enfants deMoshé ) n’est même pas mentionné.

Dans les paroles de Moshé,dans sa priére,on ne perçoit ni l’écho de l’amertume du berger fidéle ,ni même la m’oindre allusionà une requête qu’ilaurait faite de voir ses fils nommés à sa place.Toutes se demandes et ses et ses souhaits exprimés dans sa priére ne visent que le bonheur des Bénè Israêl comme ilest dit dans le verset 17 <>

Nos sages de mémoire bénie ont supposé que Moshé n’a pas désespéré si facilement de voir ses fils lui succéder <>

Dans quelle intention Moshé a-t-il fait cette demande justement aprés la répartition des domaines des filles de TSELOFHAD ? C’est que lorsque les filles de Tsélofhad eurent hérité de leur père Moshé a dit : <

MORALITE : Cela nous apprend que la Torah n’est pas donnée en héritage, n’en hérite que celui qui s’est donné de la peine pour elle

CHABAT CHALOM

Aimé Haviv HAZAN